Un représentant de commerce qui était sur les routes depuis plus de deux mois vient enfin de décider de rentrer chez lui pour retrouver sa femme et ses enfants.
Pour se faire pardonner après une si longue absence, il décide de faire un beau cadeau à sa progéniture.
Sur le chemin de l'aéroport, il s'arrête dans une animalerie et fait l'acquisition d'un mignon petit chiot labrador.
A l'enregistrement des bagages, une hòtesse lui fait remarquer que la compagnie ne tolère pas les animaux en cabine, et que le chiot devra voyager en soute.
Le représentant fait mine d'acquiescer puis il se dirige dans les toilettes de l'aéroport et revient se présenter au guichet d'enregistrement un peu plus tard, sans le chiot...
L'avion décolle et quinze minutes plus tard, alors que l'hòtesse arpente le couloir de la classe économique, elle remarque le voyageur de commerce qui semble aller très mal: il est pâle, il s'agrippe à ses accoudoirs et de la sueur perle sur son front. L'hòtesse lui demande si tout va bien.
Le VRP répond :
- Oui, oui... Ca va... J'ai juste un peu mal au coeur...
Pourtant, quinze minutes plus tard, l'hòtesse revient et constate que la situation a empiré. Une fois encore, elle demande au voyageur si tout est OK.
Le VRP, d'un ton visiblement embêté, fait :
- Eh bien, vous savez, le chiot que je vous ai montré à l'embarquement et au sujet duquel vous m'aviez dit qu'il devait voyager en soute... En fait, je ne m'en suis pas séparé, mais je l'ai emmené avec moi ici, en cabine, en le cachant dans mon caleçon.
L'hòtesse sur un ton de reproche :
- Ha ha !!! Vous allez devoir payer une amende pour cela. Mais dites-moi, pourquoi semblez-vous si crispé ?
- C'est que... Apparemment, ce chiot n'était pas encore sevré...